- Le tourisme : la situation géographique du Territoire, son climat et ses paysages attractifs sont des atouts indéniables pour le développement d’une activité touristique ciblée, connectée avec l’activité touristique des îles Fidji qui accueillent plus d’un million de touristes par an.
- Le plan pluriannuel pour le développement du secteur primaire : avec la promotion de l’artisanat traditionnel, des produits de la mer ou de l’agriculture.
- L’économie numérique : l’accès du Territoire au haut et très haut débit prévu pour 2017 grâce à la connexion au futur câble numérique Samoa/Fidji (image ci-contre)dans le cadre d’un projet financé par le XIème FED doit permettre le développement d’une économie de services délocalisés d’Europe, d’Asie et d’Amérique sur le Territoire. Grâce à cette connectivité numérique, les facteurs d’attractivité du Territoire liés à l’absence d’impôt sur le revenu et sur les bénéfices des sociétés pourront jouer à plein.
- La politique de la mer : l’exploitation des ressources halieutiques, des ressources minières et le développement d’activités connexes, liées au milieu maritime, constituent une opportunité de premier ordre pour le Territoire.
- L’innovation : renforcement des capacités locales dans les secteurs suivants : activités économiques, eau, énergies renouvelables, santé, formation, tourisme, numérique.
L’élaboration de la stratégie de développement Wallis et Futuna 2030 constitue un enjeu essentiel pour l’avenir du Territoire. Ce document devra reposer sur un état des lieux objectif. L’identification des freins au développement du Territoire devra être faite en toute transparence et sans complaisance. Ce document sera élaboré dans le consensus le plus large possible.
Le choix essentiel portera sur l’identification des secteurs d’activités créateurs de richesses et d’emploi : le tourisme, les activités de services délocalisés liées à l’attractivité fiscale. L’enjeu est d’assurer la survie du Territoire qui connaît un exode massif de ses jeunes depuis 15 ans.