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→ Mercredi 08 mars à 19h00
Christine Tsalla Elong
Auteure et peintre auto-didacte.
Christine est née au Cameroun il y a une quarantaine d’années. Alors âgée de vingt-trois ans, elle quitte sa terre natale pour l’Italie où elle suivra des études en Banques, Bourses et Assurances. En 2015, elle décide de franchir le pas en changeant de pays. Elle s’établit à Nantes en France. Amoureuse de tout ce qui est livre, elle écume les médiathèques de la ville. Malgré ses diverses activités, elle ressent une sorte d’insatisfaction, il lui manque quelque chose, elle ne sait quoi.
Au pays, sa meilleure amie vit l’enfer. Elle vient de perdre son mari dans un tragique accident de la route. C’est le malheur de trop. Elle veut l’aider. C’est alors que Christine décide de prendre sa plume. Son premier roman « Piégée par mon sang » sortira en 2019. Christine vient de trouver sa voie. En Mars 2022, ce sera au tour de « Mexico », son deuxième ouvrage, de voir le jour. D’autres romans sont en gestation et verront le jour dans les prochains mois.
Mexico est le second roman de Christine Elong.
Mexico est un livre qui parle de la condition humaine, de l’existence. C’est l’histoire d’Alex, ce jeune homme parti de son Cameroun natal vers une nouvelle terre, le Mexique. La première partie décrit ce Cameroun fermé, englué qui ne donne pas sa chance à la jeunesse. Dans cette jungle, on perçoit à travers les lignes, la violence, les changements de mœurs, de valeurs.
Dans la deuxième partie, et surtout là où les choses vont se jouer c’est lorsque Alex va faire son entrée au Mexique. Il se retrouve dans un microcosme qui mêle tout, des étudiants, des professeurs, des ingénieurs des travailleurs, l’immigration discrète et sournoise d’autres jeunes comme lui. Sa rencontre avec Aline va réveiller en lui ce sentiment qu’il croyait avoir perdu à tout jamais. Cet amour qui va au -delà des attentes, de l’imaginaire.
Mexico se veut être un roman sans frontières, une aventure humaine. Un livre sur l’amour, sur le désir, sur l’espérance, sur la trahison et enfin sur l’opportunisme.
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